La Chambre criminelle spécialisée dans l’examen des affaires de corruption financière près le Tribunal de première instance de Tunis a condamné Leila Trabelsi, Mohamed Sakhr El Materi et Nesrine Ben Ali à six ans de prison ferme et à des amendes pour exploitation par un fonctionnaire public de sa qualité pour obtenir un avantage indu pour lui-même ou pour autrui et pour préjudice à l’administration.
L’affaire concerne des soupçons de corruption financière et administrative dans un marché public.
D’autre part, il a été décidé d’arrêter les poursuites judiciaires contre deux anciens cadres de la Présidence de la République, conformément à la loi de réconciliation administrative.