De nombreux dirigeants du monde entier ainsi que des membres de familles royales assisteront aux funérailles du pape François samedi à Rome.
Le président américain Donald Trump, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, le président français Emmanuel Macron, le président et le chancelier allemands Frank-Walter Steinmeier et Olaf Scholz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni et le président Sergio Mattarella, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le prince William, le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne, ainsi que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, ont tous confirmé leur présence aux funérailles.
D’autres chefs d’État et membres de familles royales attendus incluent le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, le président argentin Javier Gerardo Milei, le président équatorien Daniel Noboa, le président philippin Ferdinand Marcos Jr., le président polonais Andrzej Duda, le Premier ministre irlandais Micheal Martin, le président croate Zoran Milanovic, la présidente moldave Maia Sandu, le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, ainsi que le prince héritier Haakon et la princesse héritière Mette-Marit de Norvège.
Né à Buenos Aires le 17 décembre 1936 de parents immigrés italiens, le chef de l’Église catholique a étudié en Argentine puis en Allemagne, avant d’être ordonné prêtre jésuite en 1969.
Pendant plus d’une décennie de pontificat, le pape François est resté une figure d’admiration autant que de controverse. Il s’est attaché à réformer la bureaucratie du Vatican, à lutter contre la corruption et à affronter les défis majeurs de l’Église.
Hospitalisé à Rome en février dernier pour une bronchite, qui a évolué en pneumonie bilatérale, il avait été autorisé à quitter l’hôpital après 38 jours pour poursuivre sa convalescence dans sa résidence au Vatican.
Mais le pape François s’est éteint lundi au Vatican à l’âge de 88 ans, marquant la fin d’un pontificat de plus d’une décennie à la tête de l’Église catholique.