Le Parti Destourien Libre a dénoncé '' les insultes, les abus et les atteintes à son intégrité physique et la violation de sa dignité humaine'' dont a fait l’objet son leader, Abir Moussi, lors de son transfert de son centre de détention au tribunal dans des conditions incompatibles avec son état de santé, qui lui a causé un état de détresse''.
Il a également dénoncé, dans un communiqué, ce qu’il a qualifié de ''politique systématique visant à épuiser sa santé et à tenter de saper son moral et de la punir pour ses prises de position politiques », attribuant la responsabilité juridique à '' ceux qui tiennent tous les rouages de l’État '', les tenant pour responsables de tout préjudice causé à la présidente du parti pendant la période de sa détention et exigeant sa libération immédiate.
Le PDL a mis en garde contre '' toute tentative visant à exclure sa candidate aux élections présidentielles » et a mis en garde contre le danger '' d’utiliser l’institution judiciaire pour la priver de ses droits civils et politiques ''.
Le parti a affirmé qu’il ''ne reconnaîtra pas la légitimité des élections auxquelles Abir Moussi est privée de son droit de participer ainsi que de larges groupes populaires de leur droit de choisir qui les représente au gouvernement à travers des élections conformes aux normes internationales”, exprimant sa disposition à s’engager dans toutes les formes de lutte pacifiques et légitimes pour mettre un terme à l’hémorragie “aux graves injustices et abus commis contre lui''.
