Le parquet auprès le tribunal de première instance de Tunis a décidé, hier mardi, de maintenir en liberté deux femmes créatrices de contenu et de les renvoyer devant le tribunal correctionnel.
Selon les informations préliminaires, trois autres jeunes femmes, ont été mises en examen par contumace pour des soupçons de provocation à l’indécence et de harcèlement d’autrui sur les réseaux sociaux.