Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a publié un communiqué condamnant les poursuites répétées et souvent arbitraires des journalistes devant les unités de sécurité, sur la base de plaintes dont certaines remontent à 2022.
Le 11 novembre, Khawla Boukrim, rédactrice en chef de Tunis Media, a été entendue par la Brigade de lutte contre la criminalité de Ben Arous pour une prétendue agression contre un agent de sécurité lors d’une manifestation qu’elle couvrait. Elle a été relâchée après l’audition.
Dans une autre affaire, le journaliste Hechmi Nouira a été convoqué par la Brigade judiciaire de Moknine, à Monastir, suite à une plainte de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) concernant ses commentaires sur les précédentes élections présidentielles diffusés sur la chaîne Attessia. Son avocat avait demandé le transfert de l’audition à Tunis, demande qui a été rejetée.
Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a publié un communiqué condamnant les poursuites répétées et souvent arbitraires des journalistes devant les unités de sécurité, sur la base de plaintes dont certaines remontent à 2022.
Le 11 novembre, Khawla Boukrim, rédactrice en chef de Tunis Media, a été entendue par la Brigade de lutte contre la criminalité de Ben Arous pour une prétendue agression contre un agent de sécurité lors d’une manifestation qu’elle couvrait. Elle a été relâchée après l’audition.
Dans une autre affaire, le journaliste Hechmi Nouira a été convoqué par la Brigade judiciaire de Moknine, à Monastir, suite à une plainte de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) concernant ses commentaires sur les précédentes élections présidentielles diffusés sur la chaîne Attessia. Son avocat avait demandé le transfert de l’audition à Tunis, demande qui a été rejetée.